Bilitis and Maria in the Azores

We asked Max to tell us about his journey to the Azores island of Terceira and here is his story.

 

It was a beautiful sunny December day when Bilitis and me landed on Lajes airfield.
I was totally surprised how warm it was. We had 21 and on one day even 24 degrees which I think is a bit unusual for winter in the Azores. I was very eager to see the island and especially the coast part where David Hamilton had shot some of his iconic pictures.

We first took a ride to our little house that I had rented for our stay and left the luggage there.
The view from the house was phenomenal. Green meadows with horses and stone walls up to the point where the horizon met the Atlantic ocean.
The style of the buildings look like a town in Portugal or even Mexico and the landscape is a perfect copy of south England. Very exciting!
We where overwhelmed by the beauty of the island and made a walk from the house to the cliffs before went to Angra do Heroismo, the capital of the island, to take a dinner at a restaurant.

Maria was still working with the horses and we met her later that night. She lived in a small house not far from us and we where so happy to see her again after more then 3 months. We decided to meet again at the farm the next day.
From then on it was all about making beautiful photos and you could hear the shutter of my camera all day long.

What I liked most about the island was the naturally and the slow and relaxed life the people lived. It is also a very tidy place with a beautiful fauna and flora.
All kind of birds where singing in the sky and the animals where very tame and friendly.

As always the time was much too short to see everything we wanted to see. Maybe this is a reason to go to Terceira again one day? We will see.

One of the most exciting moments occurred when Bilitis met some deer in a forest. The beautiful animals followed her to a glade at the top of a hill and I was able to take a photo of her lending a hand to one of the deers that had surrounded her. A truly magic moment!

I hope you enjoy the pictures and the short video with the wonderful music of Stelvio Cipriani as much as I enjoyed our stay and the time we spent with Maria.

 

 

Olivier Mathieu sent me one of his poems from his book “Les jeunes filles ont l’âge de mon exil” which he thinks goes well together with the pictures.

He dedicates it to Maria and Bilitis.

Les filles ont l’épaule lisse,
Blonde et douce, les filles ont.
Et j’aimai que leur peau frémisse
Et leurs cheveux fleurant très bon,
Quand leur parfum est comme un baume.
Jeux de Gentils, les Jeux des Paumes.
Aux seins leurs robes suspendues
Glissent, bon Maître,
Quand d’un doigt habile on décroche
L’agrafe qui les laisse nues.
C’est hier que l’on aurait pu,
Qui sait ce qu’il aurait fallu?
Innombrable est la clé des cages
En leurs serrures, d’âge en âge.
Les filles ont la chair polie
Comme à mes jeux d’enfant, les billes.
Ah! qu’il fut de filles jolies:
Et que Villon les déshabille!

Olivier Mathieu

From
“Les jeunes filles ont l’âge de mon exil” 
Editions des Petits Bonheurs (Nantes, France). First edition 2010; second edition 2016, third edition 2018. Pages 38 and 39.

 

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New Pictures and a Poem written by Olivier Mathieu

Max told us to put a whole bunch of previously unpublished photos online.
They are featuring beautiful Amelie and the jeunes filles Bilitis, Friederike, Gina and Yuna.

We have put all the new pictures together in this post.
Of course you can also find them in the models personal galleries.

The photos are accompanied by a poem of french writer Olivier Mathieu.

This poem was first released in 2010 in the poetry book “Les derniers feux du bel été” (“The last fires of the beautiful summer”), published by the Editions des Petits Bonheurs (Nantes), directed by Jean-Pierre Fleury, doctor of sociology at the University of Nantes.

The poem bears a latin title, “Culus caeruleus caelus”, which ironically means “Your bum is a blue sky”.

We would like to thank Olivier Mathieu very much for this wonderful poem and are happy to be working with such a talented artist.

We encourage you to visit his blog and to read his books!

 

Culus caeruleus caelus.
Les vents sont les Dieux du Désir
Et roule tambour le tonnerre,
Le vent dans les feuilles des arbres
Et les fleurs de tissu des robes,
Ls fleurs des robes des nymphettes,
Les rosiers des jardins en pente,
Des fleurs de toutes les couleurs,
Des parfums au coin de la rue,
Je fends le vent, mon coeur se fend,
Le vent où volent les jupettes
D’où jaillit la cuisse de marbre
Et toi, tambour, roule tonnerre.

 

 

Quelle jupette aura la Mort?
La Mort, jambes sages croisées,
Quelle ombre sur le marbre blanc?
Quels petits pieds qui se balancent?
La Mort, quelles cuisses dodues
Et quelles bottines pointues
Et la Mort, quels enjambements?
Et  mains dans les cheveux, quels gestes?
Que restera-t-il des étés
D’exil, au parc, à la frontière?

 

 

Que reste-t-il des ennemies
Debout sur les trottoirs, amies
Aux yeux brillants, aux lunes fermes
– Robes légères des nuits chaudes –
Et qui devisent à voix basse,
Aux lèvres sèches ou humides?

 

 

Et que reste-t-il des amies
Aux robes d’été, robes claires,
C’est des soleils blonds dans la nuit,
Eclairs de chair et de lumière,
C’est un mollet, une cheville,
C’est un genou de jeune fille,
Lueur de lune ou réverbère?
Et que reste-t-il des amies
Aux yeux brillants, aux globes fermes,
Aux robes courtes, qui s’asseoient
Buvant à la paille un cocktail,
Croisant ou décroisant les jambes?
Et que reste-t-il des amies,
Jeu de mes yeux, des jeux voleurs
Au jeu des jeux, des yeux gendarmes,
Des jeux et puis des yeux voyeurs,
Sous la lune aux âmes de lune?
Et que reste-t-il des amies
D’hier et d’aujourd’hui, des filles
Et des images qui s’enfuient
Quand le sens s’efface en nuances
Entre un rire, un demi-silence,
Un regard secret que l’on lance
Sous la lune aux armes de lune?

 

 

Et que reste-t-il des amies,
Des rires poivrés dans la nuit,
Et les gestes secrets s’attardent,
Quoi restera des peaux, des paumes
Sous la lune et le ciel d’exil
Où mourra la Vie ennemie,
Mais où s’inscrit un geste ultime
Gracieux, menteur sous les étoiles
Tandis que l’aube sur la toile
Au signal du chant des oiseaux
Du grand ciel déjà s’illumine?

 

 

Et que le temps perdu m’absolve
Si des instant et des regards
Que nul n’a sus, que nul n’a vus,
Reste demain ma poésie.
Innombrables, les filles furent:
Comme sont les gouttes de pluie
Sur les routes d’été brûlantes.
Et je me souviens des parfums
De l’air quand la pluie au soleil
Vient caresser les goudrons bleus.

 

 

Et ce furent vingt ans d’exil,
Vingt ans d’exil et vingt étés
Que vingt fois l’automne effaça,
Vingt ans d’exil que là et ça,
Quelques vers pourront raconter.
Les filles des derniers étés,
Quand vous serez de vieilles femmes,
Les filles blondes et les brunes,
Moi je me souviens des fumées
Blanches de quelque feu de bois
Que jusqu’à moi le vent parfois
Dans le soir portait, parfumées,
Bois dont on fait les bonnes pipes,
Les filles des derniers étés
Aux robes claires sous la lune.

 

 

Où sont les nuits et les saisons,
Tutu saumon, robe turquoise
Dansant sur les trop hauts talons,
Chancelant dans l’aurore rose?
Où sont les nuits et les prénoms
Ballerines, les chattes ivres
A musique ou bien à saisons?

 

 

Aux jours des plus grandes chaleurs,
Les filles ont les cuisses longues.
Le vent sur un trottoir emporte,
Et qui chuinte sur le goudron,
Quelque page d’un vieux journal.
Les filles ont les cuisses blondes,
Cuisses miroirs et croupes rondes
Et marchent en se balançant,
Les filles aux cuisses disjointes,
Leurs bustiers suspendus aux seins,
Genoux jaillissant des jupettes,
Filles qui sur les bicyclettes,
Léchant des glaces de leurs langues,
Ne portent pas toujours culotte.

 

 

Les filles aux chignons mignons,
Lolitas aux bras blancs et roses,
Aux tresses brunes serpentines,
Les voici dans les linges clairs
De leurs robes aux jolis plis
Débordant, quand elles se penchent,
De leurs seins gorgés de soleil,
Les filles aux mignons chignons,
Caelus caeruleus culus,
Leurs soutiens-gorge légers glissent,
Noirs ou bien blancs sur la peau blonde,
Dessus leurs épaules oblongues,
Et les trottoirs tremblent au rythme
Du sang qui bat dedans les tempes,
Et puis le soleil d’aujourd’hui,
Leurs tresses brunes serpentines
Entre leurs deux seins se faufilent…

 

 

Au coeur le soleil ont les filles,
Jours de métal au grand soleil,
Voiles sur la mer, robes blanches,
Jours de métal, soleil immense.
C’est Lolita dans le soleil
Qui se rend compte qu’on l’espionne,
Et c’est Lolita qui en rit
D’un rire clair dans le soleil,
Et le menton au fond des paumes,
Ses doigts avec ses lèvres jouent
Et puis s’enfuit dans le soleil,
Et puis c’est Lolita dans l’ombre,
L’ombre c’est celle de l’été,
Et le Grand Soleil est mon coeur
En coups de sang, ombre et lumière,
C’est Lolita aux genoux fins,
Lolita sur le sable blanc,
Lolita aux robes légères,
Mollets effilés, talons nus,
Tendre chair d’entre cuisse et cul,
Jupes à carreaux de couleurs,
Lolita qui ses jambes croise,
Et puis qui ses jambes décroise.

 

 

A  l’horizon les bicyclettes,
Et les robes et les démarches
Aux nuits des plus grandes chaleurs,
Les plus chaudes nuits de l’année,
Les nuits des chattes en chaleur,
Au ciel voici la lune ronde,
Où, la lune de l’an dernier,
Les lunes de mon demi-siècle?

 

 

Voici que la lune décroît,
Lune du Solstice d’été,
Au ciel la lune, je le crois,
Au ciel la lune n’est plus ronde.
Où, la lune de l’an dernier,
Qui a fait tant de tours du monde,
Où, les lunes de mes dix lustres?
Et quand viendra la mort qui frustre,
Jour long, nuit courte finiront:
A noce, moi mort, s’en iront.
Des larmes dans mes yeux de gosse,
Je la regarde s’esquiver,
La lune dans sa robe blanche
Que vient ronger l’obscurité,
Derrière la grille des branches
Et par mes grands Dieux, moi je sais
Que l’hiver va tuer l’été.

 

 

A l’aurore il reste des ruines,
A l’heure tendre et enfantine,
Maquillages que la nuit ruine
Quand les yeux brûlés par la fièvre
D’alcool, ou parfois par les larmes
Se font boudeurs, aussi les lèvres,
Rimmels noyés par mon blanc sperme.

 

 

La lune est une bouche au ciel,
La lune a les yeux circonflexes,
Et le sang bat dedans mon coeur,
Le sperme bout dedans mon sexe.

 

Olivier Mathieu

(“Les derniers feux du bel été”, 2010)

 

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The pictures can be purchased as personally autographed and dry stamped prints from us.

The prices for the different sizes can be seen in the shop.

Simply write to Bilitis to place your order. She will help you through the ordering process.

Max uses only analog cameras and genuine film for his artwork.

We wish you a lot of pleasure with Max Stolzenberg’s amazing photography.

 













A post devoted to the Girls of Max’s Site


Olivier Mathieu, the owner of one of the most complete David Hamilton blog has posted an article dedicated to the girls on Max Stolzenberg’s site.

It is an article about a very rare photo book with the well known photographers

David Hamilton

Larry Dale Gordon

Robert Farber

and

Jacques Alexandre

Everyone interested in high quality fine art photography of the 60’s throughout the 80’s and especially the life of David Hamilton is invited to read the blog of Olivier Mathieu.

“Je cries à toutes filles mercis” and two other erotic novels of Olivier Mathieu

 

Olivier Mathieu’s new book “Je cries à toutes filles mercis” is out now and can be ordered from him via his homepage.
Today Max got his example and he really enjoyed reading in it, literally engulfing the first pages.

We are happy to provide you some excerpts from this noteworthy book and we definitely suggest to enrich your library with this novel.

Pourquoi ai-je aimé David Hamilton?
C’était un homme qui, en France et au vingtième siècle, disait de son propre
milieu, celui de la photographie, qu’il ne s’y connaissait aucun ami.
David Hamilton tenait farouchement à son indépendance et n’était membre
d’aucun club, d’aucune association, d’aucune loge, d’aucun mouvement, d’aucun
syndicat, d’aucun parti.
David Hamilton constatait qu’il avait passé chez ses anciens employeurs les
années les plus ennuyeuses de sa vie.
David Hamilton déclarait noir sur blanc que ses éditeurs étaient des incompétents.
David Hamilton, né à Londres, médisait des Anglais.
David Hamilton se gaussait des pseudo-révolutionnaires. Et de la pseudo-avant-
garde artistique.

***

David Hamilton, l’homme qui n’aimait pas les femmes.
David Hamilton, l’homme qui aimait, c’est tellement différent, les jeunes filles!
David Hamilton disait: Un pour cent du monde est blond.
Puis il photographiait les filles brunes comme les blondes.
David Hamilton, ami de l’éternité, de la beauté, du classicisme.
David Hamilton était un homme libre.
David Hamilton confiait: «Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours refusé
de me conformer. Je me suis insurgé de façon subtile mais ferme contre la banalité
du monde où j’étais né. Je n’ai jamais accepté la vie telle qu’on me la présentait et
j’ai toujours cherché des horizons meilleurs en fuyant la grisaille de Londres»…
Une toute petite goutte de nectar au milieu des égouts du monde moderne.
Voici ma définition de l’oeuvre de David Hamilton.
Est-il étonnant qu’Olivier Mathieu ait aimé David Hamilton?
Un jour, Roland Jaccard m’a écrit ceci: «David Hamilton vous doit beaucoup».
C’était comme si le compliment me fût venu, d’outre-tombe, de David Hamilton
en personne.

On ne retrouve jamais les jeunes filles, toutes les filles, celles qu’on a eues,
celles qu’on a perdues, celles qu’on n’a jamais eues, qu’en les écrivant.
Voilà, c’est fait.

***

Ironie du destin, peut-être les jeunes filles les plus mystérieuses, les plus essentielles,
les plus lacérantes resteront-elles absentes de l’inventaire donjuanesque,
de tout catalogue de Pierre Louÿs, de tout album de David Hamilton, des romans
de Roland Jaccard et de ces Mémoires éphébophiles.

***

Ma philosophie de la Jeune Fille a été celle de l’érotisme envisagé comme un
jeu. Dans l’oeuvre photographique de David Hamilton, tout pareillement, il n’y a
pas de sexe. Pas de sexe génital, en tout cas, parce que le sexe génital n’est pas
intéressant. La pénétration, c’est de la boucherie. J’ai préféré que les nymphettes
me prodiguent des fellations. J’ai privilégié le cunnilingus. Vive le monde idyllique
– mille fois plus réel que l’autre – de la pure sensualité hamiltonienne. Il avait
mille fois raison aussi, le personnage du film Emmanuelle qui définissait l’érotisme
comme l’art d’humaniser l’acte sexuel. L’érotisme authentique est le règne des jeux
enfantins, des étreintes saphiques, et de la passion suprême de Humbert Humbert
pour Lolita. David Hamilton ne m’aurait certes pas contredit. Je suis heureux et
fier que mon existence entière ait été inspirée par une sensualité non génitale,
libérée de la pornographie qui est celle de la pénétration.
A toutes les putains, à toutes les coquillardes, à toutes les passantes, à toutes
les jeunes filles de David Hamilton, à toutes les héroïnes de Roland Jaccard, à
toutes les Lolitas de Vladimir Nabokov, aux filles qui m’ont perdu, aux filles qui
m’ont sauvé, à toutes les pures salopes, à toutes les salopes pures, je crie à toutes
filles mercis.
A toutes filles auxquelles un souvenir était dû, mercis!

Beside this new book of Olivier Mathieu we also point out the following two books of him.


“Jouissive à Venise” and “Châteaux de Sable” which means “Castle made of Sand” are two erotic novels linked together by the fact that they are both devoted to the girl friend of the author.

The story of the first book is about a boy meeting a young girl and asking her if she likes fellatio. He also tells her that he is equipped with a small cock with the intention to find out if she is up to more than only the physical part of sexual interaction. He firmly believes that the brain is the most important sexual organ and he is not interested in a girl who’s sexuality is limited to genital sex.
Her answer pleases him and so they both agree to meet for a week in Venice.
The novel tells the story of this seven days of love and also allows us an insight into the history of the venetian writers of the 18th. century.
Above all the book is about the myth that a man needs to have a big sexual organs to live a fulfilled sexual life and to satisfy his partner. A myth brought to life by our modern culture and the sex industry while, in fact, there where cultures in which just the opposite was en vogue.

The second book, “Château de Sable” is the continuation of “Jouissive à Venise” and it describes the evolution of the characters on their way to the next erotic stage.
Basically it is the story of a person who wants to life in an anti conformal way, even in therms of sensuality.
He prefers emotion to sex and rejects the common way of making love while putting his principles (righteous or not) into practice.
And, to his own amusement, he is very successful in doing so.

Max is sure that Olivier Mathieus books will be very much to the pleasure of everyone who likes sophisticated erotic literature and the beauty of the French language. Both novels are now part of his selection of preferable books.

Visit Olivier Mathieu’s site!

 

New Book by well known french writer Olivier Mathieu to be published soon!

 

 


Well known French writer Olivier Mathieu is about to publish his book “Je crie à toutes filles mercis”
His newest work which contains his sentimental memoirs on 532 pages will be available from October 28, 2018.

The release date was symbolically set on October 28th because it was the birthday of David Hamilton’s favorite actress, Dawn Dunlap.

Here, at the National Library of Paris, you can find a bibliographical notice devoted to the book that Olivier Mathieu wrote about Dawn Dunlap.

Olivier Mathieu, also manages the blog  “In defense of David Hamilton“, as well as a You Tube channel of the same name.

We highly encourage you to visit this site as it contains a significant number of pictures and facts – some of them never published before – about the famous British photographer.

 

Olivier Mathieu also wrote two books in defense of David Hamilton.
“C’est David Hamilton qu’on assassine” (“It is David Hamilton who is assassinated”) in 2017
with, it should be noted, a preface by the famous Swiss writer Roland Jaccard

and

“David Hamilton suicidé, mais par qui?” (“David Hamilton committed suicide, but by whom?”​) which started selling in 2018
The book  “David Hamilton committed suicide, but by whom?” for example, was the subject of a glowing article by Roland Jaccard, published in the reputed French literary journal
Le service littéraire N ° 116 (April 2018)

Published for more than ten years by Jean-Pierre Fleury, PhD in sociology from the University of Nantes, Olivier Mathieu today offers his book
“Je crie à toutes filles mercis” (“I shout to all girls thanks “)
This title is an obvious reference to the “Ballad of thanks ” of the great poet Medieval François Villon).

The book, written in French, has a preface by the author and fourteen very long chapters. The fourteenth chapter is titled “Philosophy of the girl at David Hamilton.” Finally note that the book is illustrated by various photographs of the author Olivier Mathieu, who sometimes practices as an amateur photographer.

 

 

Anyone who loves photography, literature, or loved David Hamilton, or a romantic, enchanted and natural world view is welcome!

.All information about this book can be obtained by writing to the author, on the WordPress blog
Defending David Hamilton